Nowhere Girl

C'est beau

Magali Le Huche livre ici un récit autobiographique ponctué par de superbes planches oniriques qui permettra de connaître un peu mieux ce trouble qu’est la phobie scolaire.

l'auteure signe une bande dessinée dans le vent, posant même, grâce à sa senbilité graphique et son érudition, un regard personnel sur les quatre garçons de Liverpool.

Une autobiographie sensible et graphique, qui traite d’un sujet pas simple et qui réussit à nous faire rire et réfléchir.

ce manuel de combat se doit d’être lu et le poids du cartable s’en trouvera allégé.

sans doute l’ouvrage le plus personnel, original et réjouissant paru ces derniers mois tant il parvient à mêler habilement humour, sensibilité, histoire de la musique et recherches graphiques virevoltantes en « quadricolore »

Avec un formidable sens du détail et une imagination graphique fantastique, Magali Le Huche compose un roman très personnel, qui consolera plus d'un adolescent.

La dessinatrice Magali Le Huche raconte en couleurs et en bande dessinée comment sa passion pour les Beatles l'a sauvée durant son adolescence.

Dans Nowhere Girl, elle fait exploser graphiquement Paul, John, George et Ringo

sauvée de sa phobie scolaire par… les Beatles

Les Beatles, remèdes à la phobie scolaire, dans la jolie BD "Nowhere Girl"

c'est bien traité, c'est léger, il n'y a pas de pathos

On prend un bain de jouvence et de nos nostalgies d'autant plus délicieux que le trait est léger et enlevé

Coup de coeur !

une traversée du miroir à la manière d'Alice au pays des merveilles

Une bande dessinée très personnelle, qui raconte un sujet assez grave, avec un feu d’artifice d’imagination, de fantaisie absolument incroyable. Et comme tous les récits personnels réussis, il touche à l’universel et va pouvoir aider bien des familles, parce que le sujet est la phobie scolaire.

raconter la fragilité humaine

par son talent narratif et sa légèreté naturelle, elle montre que le genre de l’autobiographie en BD, très à la mode depuis vingt ans, est encore pertinent. Du moment que l’on est sincère et que l’on a quelque chose à dire et à partager, au-delà de son seul nombril

c'est envoutant, son dessin emporte tout !

elle évoque le thème de la phobie scolaire avec finesse et humour, en dépit de la gravité du sujet.

C’est un partage d’expérience généreux, porteur de réflexion et d’espoir pour les victimes et les témoins de ces dépressions juvéniles plus fréquentes qu'on ne le croit.

une autobiographie racontée avec verve et entrain malgré les ombres qui planent sur cette jeunesse traumatisante. Le dessin fourmille de détails, les Beatles s'étalent en pleine page et envahissent les rêves et les cauchemars d'une petite fille qui, trente ans plus tard, n'a pas tourné le dos à sa beatlemania personnelle.

la magie surgit lorsque, au son des mélodies des Beatles, le rêve s’emballe et les couleurs jaillissent. Naissance d’une vocation et d’un imaginaire d’artiste.